La piété filiale est l'obéissance aux parents et la bienfaisance envers eux, en actes et en paroles, de leur vivant et après leur mort.
Les combattants et les guerriers bénévoles n'ayant pas de part dans le budget de l'armée, et ce, même s'ils sont riches. ( 1 ).
Rébellion d’un groupe d'individus contre le dirigeant (i.e. : l’imam), suscitée par une erreur de jugement.
L’opposition armée entre deux personnes ou plus.
Le chef de l'armée qui prend le commandement et gère les affaires militaires , le déroulement des combats et autres affaires similaires
Maladie contagieuse qui se propage et tue rapidement.
Distribuer le cinquième du butin de guerre.
Abandon et délaissement du combat contre les mécréants durant une période précise.
Apparition des premiers poils durs, dans la région pubienne et anale.
(1) Ennemis mécréants qui ne sont pas liés aux musulmans par un pacte de non-agression, et de protection.
Appel du dirigeant ou de son représentant, à la mobilisation d’un ou plusieurs de ses administrés, pour partir au combat (jihâd).
(2) Attribuer à un individu précis une part précise du butin.
Objets et instruments utilisés à la guerre et au combat.
(2) Maison dans laquelle vivent des moines chrétiens, isolés ou en communauté, avec l’ambition de se retirer du commerce du monde pour se consacrer à la prière et à la contemplation.
C’est lorsqu'on octroie à un combattant une quote-part du butin supérieure à celle initialement prévue.
Le septième mois lunaire de l’année hégirienne.
(2) Opération militaire à l’initiative du dirigeant ou de son représentant, qui vise à affronter sur ses terres un pays mécréant en état de guerre.
Rupture et non-respect de l’engagement.
Appel, exhortation à la guerre sur le sentier d’Allah, avec la promesse du butin et de la récompense future.
Violation des traités de paix noués avec des mécréants en portant atteinte à leur personne, leurs biens, ou leur honneur.
Tenue portée par les combattants pour se protéger des armes de l’ennemi.
« Al Fay’ » désigne ce que les musulmans ont pris comme butin de guerre aux mécréants sans avoir à combattre.
Demander le soutien et l'assistance d'autrui pour combattre l'ennemi.
La victoire des musulmans sur les mécréants et la confiscation de leur terre.
Combat d’un ennemi extérieur par les armes.
Une attaque impromptue contre l’ennemi afin de s'approprier ses biens et sa personne, en se précipitant sur lui.
Achever, porter le coup de grâce à un blessé.
Personne qui travaille pour quelqu’un d’autre en contrepartie d’une compensation.
Les effets provoqués par le feu, et l'embrasement d'une chose.
Faire d’un être humain libre un esclave que l'on possède.
(2) Se rendre à l'ennemi comme prisonnier.
Nom d'une unité de capacité reconnue religieusement et qui est égale à douze sâ`, soit environ trente-trois litres ou vingt-six kilogrammes.
Cacher une chose et sa non-divulgation de son état.
Extirper un blessé de son état quasi-mortel, pour le ramener à la vie, et ce, en l’évacuant de la zone de combat et en lui prodiguant des attentions le ramenant peu à peu à la vie, comme manger, boire, dormir, etc.
Affranchir les captifs et les libérer des mains des ennemis.
Action de demander un don (en argent ou autre) au gouverneur.
L'engagement pris par le chef de l'Etat ou son substitut pour l'arrêt des hostilités envers les non-musulmans pour une période déterminée.