Ensemble distinct de versets du Coran ayant un début et une fin et possédant un nom spécifique. La plus courte des sourates contient trois versets.
Groupe de mots du Noble Coran liés les uns aux autres, qui a un début et une fin.
Manifester, montrer la véracité du Prophète (paix et salut sur lui) dans sa prétention au Message [divin] (« Ar-Risâlah ») en montrant l’impuissance des Arabes, et de tous les autres, à s’opposer au Coran.
Des parties (« Ajzâ’ ») du Coran qui se suivent harmonieusement, qui ont un signe distinctif dans le « Mushaf » et qu’on lit les unes à la suite des autres dans une durée bien définie.
La sourate : l’Ouverture (« Al Fâtiha ») (n° : 1) qui contient sept versets.
Information du Coran de l’impuissance des êtres humains à s’opposer au Coran ou à apporter une seule et unique sourate comme Lui, et cela tant dans ses expressions, ses significations, ses styles et ce qui y ressemble.
Lecture des expressions du Coran comme il a été révélé et suivi de ses significations comme Allah et Son Messager (sur lui la paix et le salut) l'ont voulu.
Enseigner à quelqu’un la lecture, la récitation du Coran ; inciter, pousser quelqu’un à lire le Coran ou un autre livre.
Les versets contenant une comparaison entre deux éléments ou une signification dont la brièveté est splendide et aide à en comprendre les [différentes] significations ou en dévoile les réalités [cachées], etc.
Expressions coraniques qui ont besoin d’explication quant à leurs significations.
Al-art : celui qui pratique des élisions entre deux lettres, contraires aux élisions permises en Arabe.
Nom pour désigner un groupe de sourate du Coran dont la première est la sourate : la Vache (n° : 2) et la dernière est la sourate : Jonas (n° : 10) ou la sourate : le Repentir (n° : 9) et les Prises de Guerre (n° : 8).
Science qui s’attache au recensement du nombre des versets dans les sourates, ou dans tout le Coran, en expliquant le premier verset et le dernier de la sourate.
La récitation par le Prophète (paix et salut sur lui) de l’ensemble du Coran, deux fois, sur Jibrîl (paix sur lui) durant l’année où il mourut.
Les exemplaires [du Coran] qui ont été écrits par certains Compagnons (qu’Allah les agrée) pour leur usage personnel et qui portent leurs noms.