Eau souillée : eau qui a été mélangée à une impureté ayant altéré tout ou une partie de ses caractéristiques, qui s’imprègne de la souillure en question.
Non accomplissement d’une chose décrétée que cela soit intentionnel ou non intentionnel.
L’eau pure en elle-même mais qui n'est pas purificatrice pour autre chose.
Eau dont la quantité est inférieure à deux cruches, deux jarres.
ce que l'on perçoit par l'intermédiaire du sens du goût, au moyen de la langue.
Jeter une impureté sur une chose pure.
Il s'agit d'une fragrance végétale transparente qui tend vers le blanc, [substance] solide que l'on peut également broyer. Son odeur est parfumée et son goût amer.
(2) Âbâr : trous profonds creusés dans le sol, afin d'en faire sortir de l'eau, du pétrole, etc.
Action d’ôter toute impureté, toute souillure, qui empêche l’accomplissement de la prière en utilisant de l’eau.
Eau corrompue par la stagnation, sans avoir été en contact avec d’autres éléments.
L’eau qui coule provenant d’un endroit en pente ou aplani.
L’eau dont l’une de ses caractéristiques, ou plus, s’est modifiée à cause d’une chose pure qui s’est mélangée à elle.
L’eau que l'on déverse sur les membres lors de la purification à la suite d’un état d’impureté.
L’eau pure qui a été chauffée à la chaleur du soleil.
Eau amère, très salée, non potable et impropre à l’agriculture ou quoi que ce soit d’autre.
Etendue d'eau de pluie laissée par le torrent.
Le lieu d'où se jette l'eau, que ce soit en pente ou à plat.